Sunday, November 25, 2012

Haunting Eyes Of A Wodaabe Girl



Niger. Sahel. Azaouak Valley. Wodaabe (Bororo/Fulani) woman dressed up to watch a male beauty contest.

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Niger. Sahel. Vallée de l’Azaouak. Jeune femme Wodaabe {Bororo/Peul) vêtue pour assister à un concours de beauté masculine.

Saturday, November 24, 2012

Baking Bread In Peru's Andes Mountains



Peru. Andes Mountains. Amazonas Province. Upper Amazon. Uchucmarca. Farmers couple add to their income by baking rolls for sale.

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Pérou. Montagne des Andes. Haut-Amazone. Uchucmarca. Ce couple de fermiers augmente ses revenus faisant de petits pains qu’il vend à ses voisins. 

Friday, November 23, 2012

Ecuador Cowboy



Ecuador. Near Salitre (Guayas). Cattle ranch owner.

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Equateur. Près de Salitre (Guayas). Propriétaire de ranch. 

Thursday, November 22, 2012

An Old Acadian Village Scene Recreation



Canada. New Brunswick. Acadia. Near Caraquet.  Le Village Canadien. A replica of an ancient Acadian French village.

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Canada. New Brunswick. Acadie. Près de Caraquet.  Reproduction d’un vieux village acadien français.

Wednesday, November 21, 2012

Tuesday, November 20, 2012

Ghana Sword Bearers



Ghana. Near Kumasi. Akan political gathering. Young sword bearers.

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Ghana. Près de Kumasi. Réunion politique Akan. Porteurs de sabres.  

Sunday, November 18, 2012

Unique Veil Culture in Saharan Tuareg Society





 Niger. Sahara Desert. Noble Kel Rela Tuareg man, originally from the Sahara’s  Ahaggar Mountainss of southern Algeria.

Niger. Sahara. Noble Touareg de la tribu Kel Rela, originalement des montagnes sahariennes du Hoggar, du sud algérien.



 Niger. Sahara Desert. Noble Kel Rela Tuareg man, originally from the Sahara’s  Ahaggar Mountainss of southern Algeria.

Niger. Sahara. Noble Touareg de la tribu Kel Rela, originalement des montagnes sahariennes du Hoggar, du sud algérien.




Niger. Sahel. Tuareg of the wealthy and powerful noble Iullimiden tribe.

Niger. Sahel. Touareg de l’opulente et puissante tribu noble des Iullimiden.


Unlike in other Moslem societies, among the Tuareg it's the men who wear veils. Like their North African Berber sisters, the women do not. And like them they proudly belong to a matriarchal society that gives women and men equal rights. In matters of inheritance and social status women’s rights are even superior. For example, while the child of a Tuareg nobleman and a woman of lower social status inherits the lower status, the child of a Noble Tuareg woman and a man of lower status, be him a black servant, inherits the noble status.

Also, while a man must provide for his family, a wife does not have to share her own wealth. And her husband may not frown on her for attending former suitors.

Ask a Tuareg why men hide their faces, and he will only say that it was always like that. Some authors have offered possible explanations. One that I remember reading had something to do with Tuareg women forcing their men to forever hide their faces behind a veil after a shameful battle loss. But why would all Tuareg men hide in shame, if so many of hem won many battles too?

Having lived among the Tuareg for nearly a year of repeated visits, three times for National Geographic alone, but also for two children’s books and while stopping in their camps for extended time during longer trans-African journeys, I have my own theory on this--for what it may be worth.

Twice, each time for a month, I journeyed with the Tuareg by camel, once on a salt caravan. To better mingle among them I adopted their dress. Face hiding behind the tagelmust, or veil, I inevitably appreciated its uses. It prevented my mouth from drying, and like sunglasses it toned down the glare of the sand. And of course it protected my face from sunburn.

So I imagine that, in ancient times, Tuareg men began veiling themselves on long marches in the desert. In these women took no part and had no need for the veil—much less so for religious reasons. Ages went by, and the veil became supremely important to the modest man. Elaborate custom governs its adjustment. And as is evident in the photos above, styles differ between tribes. Just as evident, when comparing Tuareg from different tribes, is that they have different origins. During the period I was photographing the Tuareg, no well-bred Tuareg removed his veil before women, old people, or strangers within his own society, least of all before his wife's parents. To eat and drink he would often pass spoon or bowl under it, besides eating apart from his family.

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Au contraire d’autres femmes musulmanes, les femmes touarègues ne portent pas le voile. Contrairement à elles, et comme leurs sœurs berbères du Maghreb, elles appartiennent fièrement à une société matriarcale qui leur donne les mêmes doits qu’aux hommes. Et même, en matière d’héritage et de statut social, des droits supérieurs.

Par exemple, si l’enfant d’un homme noble et d’une femme de caste inferieure hérite le statut moins élevé de la mère, de la même manière, si l’enfant est d’une femme noble et d’un homme de moindre rang, soit-il esclave, il sera noble comme sa mère.

D’autre part, si un homme Touareg doit pourvoir à sa famille, sa femme ne doit pas partager avec elle ses propres possessions. Et le mari qui montrerait de la jalousie à voir sa femme servir le thé à un ancien soupirant serait ridiculisé.

Dans la société Tuareg c’est l’homme qui porte le voile. Mais demandez-en la raison à un Touareg et il ne pourra vous dire autre chose que « ce fut toujours notre coutume. »

Ayant vécu, en visites répétées, près d’un an avec les Touaregs, trois fois pour National Geographic, mais aussi pour deux livres pour enfants et durant des arrêts prolongés entre eux au cours de longs voyages transafricains, j’ai ma théorie là-dessus—pour ce qu’elle peut valoir.

Durant deux voyages à  chameau d’un mois chacun, l’un deux avec une caravane de sel, je n’ai trouvé mieux, pour me protéger de la brûlure et chaleur du soleil, quoiqu’ aussi pour mieux m’intégrer dans une société dont je cherchais à gagner la confiance,  que d’adopter leur costume. J’ai découvert ainsi que grâce au taguilmust, ou voile, ma bouche ne séchait pas  aussi facilement. Il réduisait aussi, telles des lunettes solaires, la violente réflexion du sable.

Je me demande donc si, dans un passé lointain,  les hommes commencèrent à se voiler durant de longs voyages à travers le Sahara. Les femmes, qui restaient aux camps avec leurs enfants ne faisaient jamais partie de ces longs voyages et n’avaient pas besoin de cette protection, ni beaucoup moins pour raisons religieuses.

Les siècles se suivirent et le voile devint peut-être partie intégrale du costume masculin, auquel petit-a-petit s’attacha la pudeur.  Comme le montrent les photos qui suivent, la mode elle-même s’en empara, chaque tribu adoptant un mode particulier de s’en envelopper (comparant les Touaregs de différentes tribus entre eux, il est apparent qu’ils ont aussi des origines différentes). A l’époque où je les photographiais, les Touaregs ne se dévoilaient pas devant les femmes, les inconnus, les personnes âgées et pères et mères de leurs femmes.




Colombian Rain Forest River Scene



Colombia. Choco rain forest. Atrato River. Man sitting in long red canoe in foreground is writing down the quantity of plantain he is buying from a local farmer, and which he will resell in Quibdo, a big town.

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Colombie. Forêt du Chocò. Rio Atrato. L’homme assis dans le long canot rouge en premier plan annote la quantité de bananes à cuire qu’il achète d’un fermier local. Il ira les revendre à Quibdo, une grande ville de la région.

Saturday, November 17, 2012

Proud Morochuco Descendant of Spanish Conquistadors


Peru. Pampa de Cangallo near Ayacucho.
When I asked that young girl standing at the door of her stone house to let me take her picture, she turned to her father and said : « The way I’m dressed for work will make me look like a Chola (poor Indian).“ But she graciously agreed. She was no Chola but a proud Morochuco, whose tribe claims, and her blond braids and light eyes may confirm, to descend from Spanish conquistadors.

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Pérou. Pampa de Cangallo près d’Ayacucho.
Quand j’ai demandé à cette jeune fille, à la porte de sa maison de pierres, de me laisser la photographier, elle s’est tournée vers son père et, en riant, lui a dit : « Vêtue comme je le suis pour le travail, on me prendra pour une Chola (pauvre Indienne)». Mais elle accepta gracieusement. Elle n’était pas Chola  mais une fière Morochuco. Sa tribu se flatte de descendre des conquistadors espagnols, que ses tresses blondes et ses yeux clairs paraissent confirmer.

Friday, November 16, 2012